Irez-vous au bureau pendant les JO ? Beaucoup d'entreprises ont tardé à communiquer leurs plans, craignant que leurs employés ne mélangent vacances et télétravail. Désormais, nombreuses sont celles qui ont annoncé des mesures : télétravail élargi, congés imposés, fermeture des bureaux, horaires décalés, etc.
Bien que l'on observe un retour du télétravail dû à la saturation des transports annoncée, je ne crois pas à une revanche du télétravail. et surtout je suis convaincu que nous nous trompons de sujet.
Le travail “hybride” induit que si l’on crée les “bons” processus pour faire coexister ces deux modalités, alors on a réglé le sujet : “j’ai le droit à 2 jours de TT par semaine, mais pas le lundi et pas le vendredi, et de 9h à 19h, à chaque fois soumis à la validation de mon manager”. Les transports seront encore plus saturés que d’habitude à Paris…j’autorise 3 jours de TT par semaine pendant les JO, et la messe est dite.
Le travail hybride n’est qu’un état de fait, illustrant la cohabitation de deux modes de travail. Pourtant, les plaintes persistent :
L’hybride ne répond pas aux questions fondamentales : pourquoi travaillons-nous de cette manière et quel est le but à atteindre ?
Le sujet n’est pas de savoir si votre équipe "sait" plus ou moins quand elle est sur place, mais si elle dispose des bons moyens pour :
Les 2 questions sont liées et dépassent largement le sujet de l'état dans lequel on travaille, hybride ou non (et du nombre de jours de télétravail pendant les JO), et du temps que l’on y passe (le fameux débat sur la semaine de quatre jours). Elles touchent à l’essence même de notre rapport au travail.
Et si déjà pour être "bien" au travail, il fallait :
Chez NUMA, nous avons trois pratiques simples pour une meilleure organisation au quotidien :
Les JO sont une occasion unique de repenser nos méthodes de travail, de développer le réflexe de focalisation et de réfléchir bien au-delà du télétravail ou du travail hybride. C’est le moment de s’adapter et de progresser vers des pratiques de travail véritablement efficaces et engageantes !
Par Anselme Jalon, CEO chez NUMA.
Irez-vous au bureau pendant les JO ? Beaucoup d'entreprises ont tardé à communiquer leurs plans, craignant que leurs employés ne mélangent vacances et télétravail. Désormais, nombreuses sont celles qui ont annoncé des mesures : télétravail élargi, congés imposés, fermeture des bureaux, horaires décalés, etc.
Bien que l'on observe un retour du télétravail dû à la saturation des transports annoncée, je ne crois pas à une revanche du télétravail. et surtout je suis convaincu que nous nous trompons de sujet.
Le travail “hybride” induit que si l’on crée les “bons” processus pour faire coexister ces deux modalités, alors on a réglé le sujet : “j’ai le droit à 2 jours de TT par semaine, mais pas le lundi et pas le vendredi, et de 9h à 19h, à chaque fois soumis à la validation de mon manager”. Les transports seront encore plus saturés que d’habitude à Paris…j’autorise 3 jours de TT par semaine pendant les JO, et la messe est dite.
Le travail hybride n’est qu’un état de fait, illustrant la cohabitation de deux modes de travail. Pourtant, les plaintes persistent :
L’hybride ne répond pas aux questions fondamentales : pourquoi travaillons-nous de cette manière et quel est le but à atteindre ?
Le sujet n’est pas de savoir si votre équipe "sait" plus ou moins quand elle est sur place, mais si elle dispose des bons moyens pour :
Les 2 questions sont liées et dépassent largement le sujet de l'état dans lequel on travaille, hybride ou non (et du nombre de jours de télétravail pendant les JO), et du temps que l’on y passe (le fameux débat sur la semaine de quatre jours). Elles touchent à l’essence même de notre rapport au travail.
Et si déjà pour être "bien" au travail, il fallait :
Chez NUMA, nous avons trois pratiques simples pour une meilleure organisation au quotidien :
Les JO sont une occasion unique de repenser nos méthodes de travail, de développer le réflexe de focalisation et de réfléchir bien au-delà du télétravail ou du travail hybride. C’est le moment de s’adapter et de progresser vers des pratiques de travail véritablement efficaces et engageantes !
Par Anselme Jalon, CEO chez NUMA.