A l’occasion de cet événement organisé par RH&M, notre directeur des contenus Claudio Vandi a pris la parole lors de deux conférences. Vous n’y étiez pas ? On vous a concocté un récap' !
Le future of learning soulève plusieurs questions : doit-il être différent de ce que nous avons connu jusqu’à présent ? Quelles sont les tendances sociologiques, technologique et contextuelles qui nous poussent à changer ? Ce changement est-il souhaité et par qui ? Et enfin, touche-t-il toutes les formes de learning sans exception ?
Les entreprises et apprenants sont passés d’un arbitrage entre formation digitale et présentielle à un arbitrage entre formation ponctuelle et continue. Du côté des formateurs, la tendance est d’aller à l’essentiel, les formations sont désormais abordées par l’angle de la valeur plutôt que du temps à disposition.
Concrètement, aujourd’hui on se demande “Quelles sont les compétences que l’on souhaite développer et de combien de temps a-t-on besoin pour le faire ?” alors qu’hier on avait plutôt tendance à se dire “On a 2 jours de formation, qu’est-ce que l’on peut mettre en place dans ce laps de temps ?”
Il y a une sorte de rattachement au moment présent, une vision à plus court terme des effets de la formation. Plutôt que d’anticiper les compétences de 2030 et former sur celles-ci, on prend conscience de la nécessité de former plus vite pour pouvoir s’adapter rapidement aux évolutions business. Grâce à cela, la formation gagne en agilité.
Chez NUMA nous avons fait le choix de classes virtuelles de 2 heures, plus denses que le micro-learning mais moins contraignantes que des formations en présentiel. L’avantage d’un format court et en distanciel pour les apprenants est qu’ils peuvent plus aisément se former sur leur temps de travail.
Pour évaluer l’impact d’une formation, nous pensons qu’il faut se placer au niveau des apprenants et les interroger sur l’usage qu’ils font de leurs apprentissages, ce qu’ils leur apportent dans leurs challenges quotidiens.
Les compétences - qu’elles soient soft, hard, no-regrets ou même mad - sont au coeur des préoccupations dans les organisations depuis plusieurs années. Cela s’explique évidemment par les évolutions du monde du travail, mais aussi les évolutions technologiques qui ont et continuent d’ouvrir le champ des possibles en matière d’outils (IA, Microsoft Teams). La question qui se pose alors est : la crise traversée en est-elle un catalyseur ?
La transformation digitale a été largement accélérée par l’épidémie du covid19 et le confinement général de Mars, elle s’est accompagnée d’une nécessaire formation digitale des collaborateurs.
Pour mener une stratégie de rebond efficace, il convient d’aborder la formation sous l’angle de la compétence, pour notamment projeter les collaborateurs : Quelle est notre mission pour demain ? Quelles compétences avons-nous à date ? Lesquelles devons-nous acquérir pour évoluer, nous adapter ?
La question de la formation arrive directement après : Comment former ? Quelles sont les modalités les plus adaptées selon les compétences à développer ?
Notre conviction chez NUMA c’est que les compétences de l’employabilité sont les compétences “indémodables” qui resteront utiles peu importe le tournant que prend la carrière des apprenants.
Cela implique deux choses :
L’avantage par rapport à une école c’est que l’on connaît en amont le métier de l’apprenant. On peut donc tout adapter en fonction de cela pour aborder directement les vrais sujets.
Les apprenants sont entrés dans une logique de développement continu. Il existe au moins deux niveaux de formation et donc deux enjeux différents :
Parce que les apprenants sont pleinement acteurs de leur progression, il s’agit de préférer la pratique via des mises en situation qui leur parlent et qu’ils rencontrent tous les jours plutôt que de leur transmettre un kit de “best practice” qu’ils transposeront difficilement dans leur quotidien.
A l’occasion de cet événement organisé par RH&M, notre directeur des contenus Claudio Vandi a pris la parole lors de deux conférences. Vous n’y étiez pas ? On vous a concocté un récap' !
Le future of learning soulève plusieurs questions : doit-il être différent de ce que nous avons connu jusqu’à présent ? Quelles sont les tendances sociologiques, technologique et contextuelles qui nous poussent à changer ? Ce changement est-il souhaité et par qui ? Et enfin, touche-t-il toutes les formes de learning sans exception ?
Les entreprises et apprenants sont passés d’un arbitrage entre formation digitale et présentielle à un arbitrage entre formation ponctuelle et continue. Du côté des formateurs, la tendance est d’aller à l’essentiel, les formations sont désormais abordées par l’angle de la valeur plutôt que du temps à disposition.
Concrètement, aujourd’hui on se demande “Quelles sont les compétences que l’on souhaite développer et de combien de temps a-t-on besoin pour le faire ?” alors qu’hier on avait plutôt tendance à se dire “On a 2 jours de formation, qu’est-ce que l’on peut mettre en place dans ce laps de temps ?”
Il y a une sorte de rattachement au moment présent, une vision à plus court terme des effets de la formation. Plutôt que d’anticiper les compétences de 2030 et former sur celles-ci, on prend conscience de la nécessité de former plus vite pour pouvoir s’adapter rapidement aux évolutions business. Grâce à cela, la formation gagne en agilité.
Chez NUMA nous avons fait le choix de classes virtuelles de 2 heures, plus denses que le micro-learning mais moins contraignantes que des formations en présentiel. L’avantage d’un format court et en distanciel pour les apprenants est qu’ils peuvent plus aisément se former sur leur temps de travail.
Pour évaluer l’impact d’une formation, nous pensons qu’il faut se placer au niveau des apprenants et les interroger sur l’usage qu’ils font de leurs apprentissages, ce qu’ils leur apportent dans leurs challenges quotidiens.
Les compétences - qu’elles soient soft, hard, no-regrets ou même mad - sont au coeur des préoccupations dans les organisations depuis plusieurs années. Cela s’explique évidemment par les évolutions du monde du travail, mais aussi les évolutions technologiques qui ont et continuent d’ouvrir le champ des possibles en matière d’outils (IA, Microsoft Teams). La question qui se pose alors est : la crise traversée en est-elle un catalyseur ?
La transformation digitale a été largement accélérée par l’épidémie du covid19 et le confinement général de Mars, elle s’est accompagnée d’une nécessaire formation digitale des collaborateurs.
Pour mener une stratégie de rebond efficace, il convient d’aborder la formation sous l’angle de la compétence, pour notamment projeter les collaborateurs : Quelle est notre mission pour demain ? Quelles compétences avons-nous à date ? Lesquelles devons-nous acquérir pour évoluer, nous adapter ?
La question de la formation arrive directement après : Comment former ? Quelles sont les modalités les plus adaptées selon les compétences à développer ?
Notre conviction chez NUMA c’est que les compétences de l’employabilité sont les compétences “indémodables” qui resteront utiles peu importe le tournant que prend la carrière des apprenants.
Cela implique deux choses :
L’avantage par rapport à une école c’est que l’on connaît en amont le métier de l’apprenant. On peut donc tout adapter en fonction de cela pour aborder directement les vrais sujets.
Les apprenants sont entrés dans une logique de développement continu. Il existe au moins deux niveaux de formation et donc deux enjeux différents :
Parce que les apprenants sont pleinement acteurs de leur progression, il s’agit de préférer la pratique via des mises en situation qui leur parlent et qu’ils rencontrent tous les jours plutôt que de leur transmettre un kit de “best practice” qu’ils transposeront difficilement dans leur quotidien.
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