5 pratiques clés pour adopter la bonne posture de management

13/1/2025
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5 pratiques clés pour adopter la bonne posture de management

Adopter la bonne posture de management est essentiel pour renforcer la dynamique d’une équipe et obtenir des résultats durables. Une posture adaptée ne repose pas uniquement sur des compétences techniques : elle s’appuie surtout sur la capacité à écouter, guider et inspirer ses collaborateurs. Grâce à des pratiques simples mais efficaces, un manager peut prévenir les tensions, encourager la prise d’initiative et créer un environnement de travail motivant. Voici cinq pratiques concrètes pour développer une posture managériale qui allie leadership et engagement collectif.

1. Préparez un message clé pour chaque réunion

Les managers ont souvent tendance à multiplier les informations ou à s'étendre sur des discours trop longs, ce qui peut diluer l'impact de leurs messages. Résultat : les collaborateurs peinent à identifier les priorités ou à comprendre les attentes. Pour éviter cela, misez sur la clarté et la concision. Une bonne posture managériale consiste à structurer chaque réunion autour d’un message clé : une idée forte qui servira de fil conducteur.

Comment faire ?

  • Réservez 10 minutes pour définir le message principal : avant chaque réunion, prenez le temps de déterminer le point essentiel à transmettre. Cela vous permet de rester concis et factuel. Exemple : “Nous avons accumulé 40 % de retard sur les actions de prospection. Cela menace nos résultats du prochain trimestre. Je vous demande d’y consacrer du temps dès cette semaine.”
  • Utilisez un langage direct et des faits concrets : évitez les formulations vagues ou métaphoriques qui peuvent noyer votre message. Privilégiez les données chiffrées et précises. Par exemple, au lieu de dire “On doit mettre les bouchées doubles pour rattraper le retard”, dites plutôt “Chaque membre de l’équipe doit réaliser 10 relances clients supplémentaires cette semaine pour redresser notre pipeline.”
  • Transmettez un message unique pour éviter la confusion : focalisez-vous sur un seul point clé qui marquera les esprits et orientera l’action de votre équipe. Exemple : “Bravo pour avoir dépassé les objectifs de ce trimestre (+10 %). Maintenant, la priorité est claire : renforcer la prospection pour éviter une baisse de 30 % des résultats au trimestre suivant.”

Quand vous appliquez cette méthode, vos réunions gagnent en efficacité, et chaque collaborateur comprend ce qu’il doit accomplir ainsi que l’importance de ses actions.

2. Adoptez une posture haute pour recadrer efficacement

La posture haute repose sur une communication ferme, claire et respectueuse, sans tomber dans l'autoritarisme. Elle permet de poser des limites précises et d’affirmer vos attentes tout en maintenant une relation de confiance. Cette approche est essentielle pour recadrer une équipe ou un collaborateur de manière constructive, car elle préserve la motivation individuelle et la dynamique collective. En combinant fermeté et bienveillance, vous favorisez une prise de conscience des axes d’amélioration tout en encourageant l’engagement et la responsabilisation.

Les règles d’or :

  • Formulez des demandes précises et explicites : remplacez les formulations floues par des requêtes directes pour éviter toute ambiguïté. Cela donne une direction claire et concrète. Par exemple : si un collaborateur remet en cause une tâche, dites : “Emma, je comprends que tu trouves la prospection peu utile, mais elle reste essentielle pour alimenter notre pipeline. Comment peux-tu réorganiser tes priorités pour y consacrer plus de temps cette semaine ?”
  • Restez factuel et utilisez des données concrètes : appuyez-vous sur des chiffres ou des observations précises pour renforcer votre message et éviter les généralisations. Par exemple : “Nous avons atteint seulement 60 % des relances prévues cette semaine, ce qui met en danger nos résultats pour le prochain trimestre. Je vous demande donc de vous concentrer sur ces actions dès aujourd’hui.”
  • Parlez des écarts collectifs plutôt que de cibler des individus en public : abordez les manquements comme une responsabilité partagée pour préserver la cohésion d’équipe. Par exemple : au lieu de pointer du doigt un seul collaborateur, dites : “Je remarque un manque d’intensité global sur la prospection. Nous devons tous y mettre plus d’énergie cette semaine pour redresser la situation.”

Quand vous appliquez ces principes, vous recadrez de manière efficace, encouragez la responsabilité collective et favorisez un environnement de travail respectueux et motivant.

3. Gérez les objections avec neutralité

Les objections, qu’elles soient valables ou non, doivent être accueillies avec calme pour éviter d’alimenter les tensions ou les malentendus. Adopter une posture neutre permet de désamorcer les conflits tout en préservant un échange constructif. Cette approche favorise une meilleure compréhension mutuelle et aide à recentrer la discussion sur des solutions concrètes ou les objectifs communs.

Les étapes à suivre :

  • Remerciez l’objection pour maintenir un échange ouvert : prenez le temps d’accueillir les propos de votre collaborateur avec une attitude positive. Cela montre que vous êtes à l’écoute sans perdre votre fermeté. Par exemple : face à un collaborateur agacé comme Rodrigue qui affirme, “Je ne peux pas tout faire, je dois finir des propositions importantes”, répondez : “Merci pour ce retour, Rodrigue, je comprends ta position.”
  • Reformulez l’objection pour clarifier le propos : reformuler permet de s’assurer que vous avez bien compris et de montrer à votre interlocuteur que vous prenez son point de vue en considération. Par exemple : “Donc, si je comprends bien, tu estimes que finaliser ces propositions est plus prioritaire que les actions de prospection pour l’instant, c’est bien cela ?”
  • Recadrez en restant factuel et en orientant vers une solution : lorsque l’objection est valable mais nécessite un recadrage, rappelez calmement les priorités de l’équipe et orientez le collaborateur vers une action concrète. Par exemple : “Cependant, Rodrigue, si nous négligeons la prospection aujourd’hui, cela impactera directement nos résultats des prochains mois. Peux-tu identifier une action précise que tu pourrais accomplir cette semaine pour contribuer à l’effort collectif ?”

4. Prenez le temps d’anticiper les conflits individuels

Lorsqu’un collaborateur montre des signes de frustration, comme après une promotion manquée, il est important d’agir rapidement pour éviter que la situation n’affecte l’ensemble de l’équipe. Anticiper ces tensions permet de les aborder sereinement, d’instaurer un dialogue constructif et de préserver une dynamique de travail positive.

  • Planifiez un rendez-vous dédié pour aborder la situation : prenez l’initiative d’organiser un entretien formel dans un cadre approprié. Cela montre à votre collaborateur que vous prenez le problème au sérieux et que vous êtes prêt à trouver une solution ensemble. Par exemple : “Olivier, je souhaiterais prendre un moment pour discuter de notre collaboration. J’ai l’impression que quelque chose ne fonctionne pas bien entre nous, et j’aimerais en parler pour avancer.”
  • Exposez les faits de manière neutre et objective : présentez les problèmes que vous avez identifiés sans émettre de jugement. Restez factuel pour éviter que la discussion ne devienne émotionnelle. Par exemple : “J’ai remarqué une baisse de performance dans ton équipe, avec un taux de satisfaction client en recul de 10 %. Je pense que nous devons en comprendre les causes ensemble.”
  • Co-construisez une solution en posant des questions ouvertes : donnez la parole à votre collaborateur pour qu’il puisse exprimer son point de vue et proposer des solutions. Cela permet de rétablir un dialogue constructif et de l’impliquer dans la résolution du problème. Par exemple : “Comment perçois-tu cette situation ? Quelles actions concrètes pourrions-nous mettre en place pour améliorer cela ensemble ?”

5. Instaurez une culture du feedback clair et régulier

Adopter une posture managériale efficace implique de créer l’habitude de fournir un feedback clair, constructif et régulier à votre équipe. Ce type de communication permet d’aligner les attentes, de souligner les réussites et de corriger les écarts avant qu’ils ne s’aggravent. Grâce à un climat d’échange ouvert et transparent, vous favorisez la confiance et la responsabilisation. Une culture du feedback bien ancrée désamorce les tensions en amont et renforce la cohésion et la performance collective.

  • Prévoyez au moins un feedback par semaine pour en faire une habitude : introduisez systématiquement vos réunions par une observation factuelle, positive ou négative, suivie d’un apprentissage. Cela ancre un rythme régulier et donne une direction claire à votre équipe. Par exemple : “L’exécution des nouvelles fonctionnalités n’a pas atteint le niveau de qualité attendu. Cette semaine, je vous demande de revoir les étapes de validation pour éviter ce type d’erreur.”
  • Formulez vos retours de manière factuelle et sans jugement de valeur : pour rester constructif, basez vos remarques sur des faits concrets et évitez les formulations subjectives ou accusatrices. Cela permet d’éviter les malentendus et les ressentiments. Par exemple, au lieu de dire : “Ce travail est médiocre”, préférez : “Les résultats de cette action ne sont pas au niveau attendu. Quels ajustements pourrions-nous mettre en place pour améliorer cela ?”
  • Orientez toujours votre feedback vers des actions concrètes : un feedback clair doit permettre à l’équipe de comprendre ce qui doit changer et comment y parvenir. Donnez des pistes d’amélioration spécifiques et mesurables pour guider vos collaborateurs. Par exemple : “Je propose que nous ajoutions une étape de relecture en binôme avant les livraisons. Cela pourrait réduire les erreurs de manière significative.”

Ces cinq pratiques sont des outils simples mais efficaces pour ajuster votre posture managériale aux besoins de votre équipe. En les appliquant dès maintenant, vous favoriserez non seulement des échanges plus constructifs avec vos collaborateurs, mais également un environnement de travail plus motivant. Cela renforcera leur engagement, stimulera leur performance collective et vous permettra d'affirmer votre rôle de leader.

Pour aller plus loin, NUMA propose des formations en management pour vous aider à adapter votre posture face aux situations complexes et variées, afin de développer un leadership inspirant et impactant.

Adopter la bonne posture de management est essentiel pour renforcer la dynamique d’une équipe et obtenir des résultats durables. Une posture adaptée ne repose pas uniquement sur des compétences techniques : elle s’appuie surtout sur la capacité à écouter, guider et inspirer ses collaborateurs. Grâce à des pratiques simples mais efficaces, un manager peut prévenir les tensions, encourager la prise d’initiative et créer un environnement de travail motivant. Voici cinq pratiques concrètes pour développer une posture managériale qui allie leadership et engagement collectif.

1. Préparez un message clé pour chaque réunion

Les managers ont souvent tendance à multiplier les informations ou à s'étendre sur des discours trop longs, ce qui peut diluer l'impact de leurs messages. Résultat : les collaborateurs peinent à identifier les priorités ou à comprendre les attentes. Pour éviter cela, misez sur la clarté et la concision. Une bonne posture managériale consiste à structurer chaque réunion autour d’un message clé : une idée forte qui servira de fil conducteur.

Comment faire ?

  • Réservez 10 minutes pour définir le message principal : avant chaque réunion, prenez le temps de déterminer le point essentiel à transmettre. Cela vous permet de rester concis et factuel. Exemple : “Nous avons accumulé 40 % de retard sur les actions de prospection. Cela menace nos résultats du prochain trimestre. Je vous demande d’y consacrer du temps dès cette semaine.”
  • Utilisez un langage direct et des faits concrets : évitez les formulations vagues ou métaphoriques qui peuvent noyer votre message. Privilégiez les données chiffrées et précises. Par exemple, au lieu de dire “On doit mettre les bouchées doubles pour rattraper le retard”, dites plutôt “Chaque membre de l’équipe doit réaliser 10 relances clients supplémentaires cette semaine pour redresser notre pipeline.”
  • Transmettez un message unique pour éviter la confusion : focalisez-vous sur un seul point clé qui marquera les esprits et orientera l’action de votre équipe. Exemple : “Bravo pour avoir dépassé les objectifs de ce trimestre (+10 %). Maintenant, la priorité est claire : renforcer la prospection pour éviter une baisse de 30 % des résultats au trimestre suivant.”

Quand vous appliquez cette méthode, vos réunions gagnent en efficacité, et chaque collaborateur comprend ce qu’il doit accomplir ainsi que l’importance de ses actions.

2. Adoptez une posture haute pour recadrer efficacement

La posture haute repose sur une communication ferme, claire et respectueuse, sans tomber dans l'autoritarisme. Elle permet de poser des limites précises et d’affirmer vos attentes tout en maintenant une relation de confiance. Cette approche est essentielle pour recadrer une équipe ou un collaborateur de manière constructive, car elle préserve la motivation individuelle et la dynamique collective. En combinant fermeté et bienveillance, vous favorisez une prise de conscience des axes d’amélioration tout en encourageant l’engagement et la responsabilisation.

Les règles d’or :

  • Formulez des demandes précises et explicites : remplacez les formulations floues par des requêtes directes pour éviter toute ambiguïté. Cela donne une direction claire et concrète. Par exemple : si un collaborateur remet en cause une tâche, dites : “Emma, je comprends que tu trouves la prospection peu utile, mais elle reste essentielle pour alimenter notre pipeline. Comment peux-tu réorganiser tes priorités pour y consacrer plus de temps cette semaine ?”
  • Restez factuel et utilisez des données concrètes : appuyez-vous sur des chiffres ou des observations précises pour renforcer votre message et éviter les généralisations. Par exemple : “Nous avons atteint seulement 60 % des relances prévues cette semaine, ce qui met en danger nos résultats pour le prochain trimestre. Je vous demande donc de vous concentrer sur ces actions dès aujourd’hui.”
  • Parlez des écarts collectifs plutôt que de cibler des individus en public : abordez les manquements comme une responsabilité partagée pour préserver la cohésion d’équipe. Par exemple : au lieu de pointer du doigt un seul collaborateur, dites : “Je remarque un manque d’intensité global sur la prospection. Nous devons tous y mettre plus d’énergie cette semaine pour redresser la situation.”

Quand vous appliquez ces principes, vous recadrez de manière efficace, encouragez la responsabilité collective et favorisez un environnement de travail respectueux et motivant.

3. Gérez les objections avec neutralité

Les objections, qu’elles soient valables ou non, doivent être accueillies avec calme pour éviter d’alimenter les tensions ou les malentendus. Adopter une posture neutre permet de désamorcer les conflits tout en préservant un échange constructif. Cette approche favorise une meilleure compréhension mutuelle et aide à recentrer la discussion sur des solutions concrètes ou les objectifs communs.

Les étapes à suivre :

  • Remerciez l’objection pour maintenir un échange ouvert : prenez le temps d’accueillir les propos de votre collaborateur avec une attitude positive. Cela montre que vous êtes à l’écoute sans perdre votre fermeté. Par exemple : face à un collaborateur agacé comme Rodrigue qui affirme, “Je ne peux pas tout faire, je dois finir des propositions importantes”, répondez : “Merci pour ce retour, Rodrigue, je comprends ta position.”
  • Reformulez l’objection pour clarifier le propos : reformuler permet de s’assurer que vous avez bien compris et de montrer à votre interlocuteur que vous prenez son point de vue en considération. Par exemple : “Donc, si je comprends bien, tu estimes que finaliser ces propositions est plus prioritaire que les actions de prospection pour l’instant, c’est bien cela ?”
  • Recadrez en restant factuel et en orientant vers une solution : lorsque l’objection est valable mais nécessite un recadrage, rappelez calmement les priorités de l’équipe et orientez le collaborateur vers une action concrète. Par exemple : “Cependant, Rodrigue, si nous négligeons la prospection aujourd’hui, cela impactera directement nos résultats des prochains mois. Peux-tu identifier une action précise que tu pourrais accomplir cette semaine pour contribuer à l’effort collectif ?”

4. Prenez le temps d’anticiper les conflits individuels

Lorsqu’un collaborateur montre des signes de frustration, comme après une promotion manquée, il est important d’agir rapidement pour éviter que la situation n’affecte l’ensemble de l’équipe. Anticiper ces tensions permet de les aborder sereinement, d’instaurer un dialogue constructif et de préserver une dynamique de travail positive.

  • Planifiez un rendez-vous dédié pour aborder la situation : prenez l’initiative d’organiser un entretien formel dans un cadre approprié. Cela montre à votre collaborateur que vous prenez le problème au sérieux et que vous êtes prêt à trouver une solution ensemble. Par exemple : “Olivier, je souhaiterais prendre un moment pour discuter de notre collaboration. J’ai l’impression que quelque chose ne fonctionne pas bien entre nous, et j’aimerais en parler pour avancer.”
  • Exposez les faits de manière neutre et objective : présentez les problèmes que vous avez identifiés sans émettre de jugement. Restez factuel pour éviter que la discussion ne devienne émotionnelle. Par exemple : “J’ai remarqué une baisse de performance dans ton équipe, avec un taux de satisfaction client en recul de 10 %. Je pense que nous devons en comprendre les causes ensemble.”
  • Co-construisez une solution en posant des questions ouvertes : donnez la parole à votre collaborateur pour qu’il puisse exprimer son point de vue et proposer des solutions. Cela permet de rétablir un dialogue constructif et de l’impliquer dans la résolution du problème. Par exemple : “Comment perçois-tu cette situation ? Quelles actions concrètes pourrions-nous mettre en place pour améliorer cela ensemble ?”

5. Instaurez une culture du feedback clair et régulier

Adopter une posture managériale efficace implique de créer l’habitude de fournir un feedback clair, constructif et régulier à votre équipe. Ce type de communication permet d’aligner les attentes, de souligner les réussites et de corriger les écarts avant qu’ils ne s’aggravent. Grâce à un climat d’échange ouvert et transparent, vous favorisez la confiance et la responsabilisation. Une culture du feedback bien ancrée désamorce les tensions en amont et renforce la cohésion et la performance collective.

  • Prévoyez au moins un feedback par semaine pour en faire une habitude : introduisez systématiquement vos réunions par une observation factuelle, positive ou négative, suivie d’un apprentissage. Cela ancre un rythme régulier et donne une direction claire à votre équipe. Par exemple : “L’exécution des nouvelles fonctionnalités n’a pas atteint le niveau de qualité attendu. Cette semaine, je vous demande de revoir les étapes de validation pour éviter ce type d’erreur.”
  • Formulez vos retours de manière factuelle et sans jugement de valeur : pour rester constructif, basez vos remarques sur des faits concrets et évitez les formulations subjectives ou accusatrices. Cela permet d’éviter les malentendus et les ressentiments. Par exemple, au lieu de dire : “Ce travail est médiocre”, préférez : “Les résultats de cette action ne sont pas au niveau attendu. Quels ajustements pourrions-nous mettre en place pour améliorer cela ?”
  • Orientez toujours votre feedback vers des actions concrètes : un feedback clair doit permettre à l’équipe de comprendre ce qui doit changer et comment y parvenir. Donnez des pistes d’amélioration spécifiques et mesurables pour guider vos collaborateurs. Par exemple : “Je propose que nous ajoutions une étape de relecture en binôme avant les livraisons. Cela pourrait réduire les erreurs de manière significative.”

Ces cinq pratiques sont des outils simples mais efficaces pour ajuster votre posture managériale aux besoins de votre équipe. En les appliquant dès maintenant, vous favoriserez non seulement des échanges plus constructifs avec vos collaborateurs, mais également un environnement de travail plus motivant. Cela renforcera leur engagement, stimulera leur performance collective et vous permettra d'affirmer votre rôle de leader.

Pour aller plus loin, NUMA propose des formations en management pour vous aider à adapter votre posture face aux situations complexes et variées, afin de développer un leadership inspirant et impactant.

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