J’ai pris un poste au sein de l’équipe Recherche et Développement de L’Occitane, dédiée à l’innovation radicale. Mon enjeu était de recentrer une équipe d’experts scientifiques sur les besoins de nos clients : les consommateurs et la nature. À l’issue de ce programme de 5 semaines sur le Design Thinking, les participants devaient devenir les relais de la centricité-client chez L’Occitane. Il nous fallait donc un programme activable rapidement, et une méthode qui puisse se décliner dans l’ensemble de nos projets.
Sur des profils scientifiques pour lesquels la beauté du geste va dans le sens de la science, la première étape était qu’ils sortent de leur mode de réflexion ancré et désapprennent leurs réflexes pour s’ouvrir à de nouvelles façons d’identifier un problème et réfléchir à sa solution. La notion de MVP adressée par NUMA (Minimum Viable Product) a été déterminante dans cette remise en question, ça a presque été pour eux un exercice d’humilité : laisser de côté leur recherche de la solution parfaite, pour expérimenter rapidement et trouver une solution qui, sans forcément être objectivement parfaite, répond très bien au problème du consommateur.
Nous avons pu customiser ensemble un cas pour qu’il pousse encore plus les participants dans leurs travers habituels. J’avais besoin sur ce sujet de les mettre dans leur vraie condition pour qu’ils voient ressortir leurs véritables réflexes et se rendent compte qu’il existait d’autres manières d’appréhender le problème. Ce sont ces cas pratiques qui font la différence dans la montée en compétences, c’est super de pouvoir les rendre le plus réalistes possible.
En commençant la formation, j’avais peur du format digital car je me disais que le fait de ne pas “mettre les mains dans les sujets” serait bloquant. Malgré la distance, le programme est conçu autour des différentes phases de conception d’un projet que les participants mettent en pratique à chaque session. Ne travaillant pas sur les mêmes sites, le fait de suivre le programme en petit groupe a permis de casser les silos et faire émerger de nouvelles idées.
On est un peu tôt après la formation pour se rendre compte des effets à long terme dans leur approche “problem-solver”. Le dernier workshop sur le Pitch rassemblait tous les apprentissages des sessions précédentes, chaque participant a pu s’approprier les différentes pratiques expérimentées pour les mettre en forme à sa façon.
Disruptive, efficace et fun.
Nombre de participants
Programme
Taux de satisfaction
J’ai pris un poste au sein de l’équipe Recherche et Développement de L’Occitane, dédiée à l’innovation radicale. Mon enjeu était de recentrer une équipe d’experts scientifiques sur les besoins de nos clients : les consommateurs et la nature. À l’issue de ce programme de 5 semaines sur le Design Thinking, les participants devaient devenir les relais de la centricité-client chez L’Occitane. Il nous fallait donc un programme activable rapidement, et une méthode qui puisse se décliner dans l’ensemble de nos projets.
Sur des profils scientifiques pour lesquels la beauté du geste va dans le sens de la science, la première étape était qu’ils sortent de leur mode de réflexion ancré et désapprennent leurs réflexes pour s’ouvrir à de nouvelles façons d’identifier un problème et réfléchir à sa solution. La notion de MVP adressée par NUMA (Minimum Viable Product) a été déterminante dans cette remise en question, ça a presque été pour eux un exercice d’humilité : laisser de côté leur recherche de la solution parfaite, pour expérimenter rapidement et trouver une solution qui, sans forcément être objectivement parfaite, répond très bien au problème du consommateur.
Nous avons pu customiser ensemble un cas pour qu’il pousse encore plus les participants dans leurs travers habituels. J’avais besoin sur ce sujet de les mettre dans leur vraie condition pour qu’ils voient ressortir leurs véritables réflexes et se rendent compte qu’il existait d’autres manières d’appréhender le problème. Ce sont ces cas pratiques qui font la différence dans la montée en compétences, c’est super de pouvoir les rendre le plus réalistes possible.
En commençant la formation, j’avais peur du format digital car je me disais que le fait de ne pas “mettre les mains dans les sujets” serait bloquant. Malgré la distance, le programme est conçu autour des différentes phases de conception d’un projet que les participants mettent en pratique à chaque session. Ne travaillant pas sur les mêmes sites, le fait de suivre le programme en petit groupe a permis de casser les silos et faire émerger de nouvelles idées.
On est un peu tôt après la formation pour se rendre compte des effets à long terme dans leur approche “problem-solver”. Le dernier workshop sur le Pitch rassemblait tous les apprentissages des sessions précédentes, chaque participant a pu s’approprier les différentes pratiques expérimentées pour les mettre en forme à sa façon.
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